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LA SOUFFRANCE ANIMALE DE MIEUX EN MIEUX PRISE EN COMPTE PAR LES ACTEURS ECONOMIQUES ET CULTURELS

Le 06 janvier 2020
LA SOUFFRANCE ANIMALE UN SUJET MAJEUR DE NOTRE SOCIETE UN COMBAT DE CHAQUE JOUR QUI IMPOSE UNE PRISE DE CONSCIENCE COLLECTIVE

Une génération qui impose, grâce au net, un changement de comportement et une plus grande empathie pour nos amies les bêtes :

 

Les Milléniums et leurs réseaux sociaux auront pu mobiliser la société française et permettre à des pionniers tel maître Xavier Bacquet, avocat au barreau de Paris, de faire bouger les lignes depuis plus de 20 ans, et ainsi de permettre une meilleure prise en compte de la souffrance animale par la justice.

 

Ce qui, il y a 20 ans, était considéré comme une problématique « exotique » est devenu aujourd’hui un enjeu majeur, les consciences se sont enfin réveillées, le vivant sous toutes ses formes doit être respecté, l’animal de plus fort.

 

Cette évolution de la société française réagit au diapason du monde occidental sur un phénomène de société signifiant, comme une prise de conscience à relier à cette vague de véganisme que l’on observe, entre autres, dans cette nouvelle génération.

Elle s’intéresse aux conditions d’élevage, de transport, d’abattage et visionne de nombreuses vidéos qui circulent désormais sur le net et interpellent.

Nous ne pouvons que nous féliciter de ce besoin de s’informer dans un domaine longtemps resté négligé, parent pauvre du droit, et qui touche aussi bien à l’alimentation qu’à  la cosmétique, l’habillement qu’aux filières de l’agriculture concernées.

 

Ainsi, depuis 2015 ( Art 515-14 ), grâce au travail de fond de la Fondation 30 Millions d’Amis, et d’un député à l’écoute,  le droit français définit les animaux comme « des êtres vivants doués de sensibilité » et non plus comme de simple « meubles ». C’est un premier pas vers une reconnaissance espérée à un troisième titre à part entière, des « animaux », avec un statut spécifique, par le législateur.

LA PRISE EN COMPTE DE LA SOUFFRANCE ANIMALE UN SUJET DE SOCIETE

Ceci viendra compléter un arsenal déjà existant sur la sanction des actes de maltraitance, cruauté, sévices graves et abandon mis en place par la loi du 6 janvier 1999.

 

La prise en considération de la souffrance animale devient donc un sujet de société.

 

Nos dirigeants en sont conscients bien que pris entre les feux de lobbying paradoxaux.

 

Nulle doute pourtant que le sens de l’histoire donnera raison à la vie, forte du soutient qu’elles rencontrent auprès de l’opinion publique,  les associations de protection animale sont plus que jamais aux avants postes du respect de la condition animale.

 

Anne-Carole NILSSON 

Pour OPINION INTERNATIONAL